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P.VICTOR

Peintre russe
P. Victor
Fondateur du conceptualisme de moscou

VICTOR PIVOVAROV EST NÉ EN 1937 À MOSCOU.

IL A ÉTUDIÉ À LA KALININ INDUSTRIAL ART SCHOOL (1951-1957) ET EST DIPLÔMÉ EN TANT QU’ILLUSTRATEUR ET DESIGNER DE LIVRES DE L’INSTITUT POLYGRAPHIQUE DE MOSCOU (1957-1962)

Pendant plusieurs années, l’artiste travailla comme illustrateur, et ceci principalement de livres pour enfants.

Il s’est alors fait une réputation comme l’un des meilleurs illustrateurs dans ce secteur et conçu par la suite les magazines Veselye Kartinki et Murzilka. Ces magazines comptaient des millions d’abonnements.

En 1967 , voilà qu’il commence à travailler dans le dessin de chevalet. Ce qui le poussa vers les années 1980  à s’adonner à la peinture de chevalet. Beaucoup d’œuvres mémorables ont vu le jours c’est années là.

A ces époques, on retrouvait au centre de Moscou un  grand nombre de studios d’artistes.  Ces derniers se  rencontraient alors fréquemment pour discuter autour  de leurs œuvres.

Cette partie de l’histoire a donc permis à certains chercheurs d’introduire le concept de «Groupe du boulevard Sretensky».

Un groupe qui a conduit à la formation de l’école conceptualiste de Moscou.

Victor Pivovarov est l’un des fondateurs du conceptualisme de Moscou.

À la suite de son ami et pair Ilya Kabakov, il découvre le genre de l’album, qui mêle image et texte.  Depuis 1975, il a produit plus de trente albums.

En effet, au début des années 1970, il crée une série de peintures à l’émail industriel sous l’influence d’affiches produites par les autorités ferroviaires. Dans ces affiches dit-il j’y vois l’absurdité et le surréalisme.

Pivovarov travaillera alors sur des cycles conceptuels et des séries d’images thématiques.  Par exemple, «Projects for a Lonely Man» en (1975),  et «Seven Conversations» en (1976)

Contrairement aux autres artistes de son entourage, les œuvres de Pivovarov ne s’adressent pas  à des questions sociales.

Pour l’artiste ses œuvres sont un dialogue poétique avec d’autres artistes, poètes, écrivains qu’il illustre.

On peut ainsi constater que de nombreux cycles de son parcours sont principalement imprégnés d’éléments autobiographiques et surréalistes, de rêves et d’absurdité dadaïste, imprégnés d’ironie et d’auto-ironie de la mystification.

 

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